Aujourd'hui, quand je me suis reveillé, la premier chose que j'avais faite était de regardé par la fenêtre. Il y a un manifique soleildepuis déjà quelques jours, mais c'est vraiment cool et aujourd'hui, nous sommes samedi!! Donc, tous les élèves de Poudlard n'on pas e cours et peuvent profité de la vie! Ensuite, je suis aller prendre une douche et m'habillé. Je n'arrêtais pas de pense à se que je pourrais faire cette après-midi. J'avais pensé à resté avec mes amie pour parlé de tout et de rien, comme d'habitude quoi! Mais, je prefert aller dans le parc de l'école pour me détendre et biensur, faire de la musique. Je m'allongea sur mon lit en pensen à Kian, mon petit-ami. Il m'avait sauvé des griffes d'un Serpentard qui n'arrêttait pas de m'ebétté à la sorti d'un cour. Puis, je mis mes chaussures, pris ma guitar et sortis de ma chambre.

Une fois arrivé dans le hall, je sortis de Poudlard et alla en direction su parc. Quand je suis arrivé, il n'y avais personnes. Cool. Je m'assis dans l'herbe, et me pose contre un arbre. Puis, j'accorde ma guitare et commence à joué une musique que j'ais écrite il y a peu de temps. Et avec l'accompagnement de la guitare, je commença à chanté.

Spoiler:

C'était une belle matinée, c'est vrai, et le soleil appelait gravement au repos dans le Parc. J'avais beau tenter de me motiver pour faire mes devoirs, rien n'y faisait. J'avais trop envie de sortir, d'aller respirer l'air frais et pur de l'extérieur, m'échapper de ces murs sombres et humides qui m'enfermaient dans ma chambre comme un prisonnier dans sa cellule. J'allais surement être collé si je ne rendais pas ce travail lundi, mais je m'en foutais complètement. Abandonnant à la poussière mon bouquin de botanique et ma feuille restée blanche, j'enfilais une tenue plus présentable, coiffais mes cheveux en bataille - comme d'habitude -, et m'envolais vers une liberté bien plus alléchante. Après tout, qui voudrait rester enfermé un samedi matin si ensoleillé, alors que tous ses amis sont sortis ? En tout cas, personne à ma connaissance. Dévalant les marches quatre par quatre en bousculant quelques petits Poufsouffles qui trainaient par-ci par-là, j'arrivais enfin au rez-de-chaussée, et peu après, au Parc. Une grande goulée d'air frais s'enfonça dans mes poumons et me réveilla totalement. Alors que j'allais me diriger vers un coin calme, une voix douce et mélodieuse attira mon attention à l'opposé. En me retournant, j'aperçus alors la plus jolie et la plus gracieuse de toutes les fleures de ce Parc, assise dans l'herbe avec sa guitare sur les genoux, absorbée dans sa chanson : Pandora.
Un sourire illumina mon visage, et je ne pu m'empêcher de fermer les yeux en marchant vers elle, envoûté par le son de sa voix. Dans mon monde où tout n'était qu'ombre et brutalité, elle ajoutait un soupçon de lumière et de bon,heur. C'était surement la raison pour laquelle je l'aimais tant. Sans faire un bruit, je m'installais face à elle, et écoutais avec amour le chant de l'amour de ma vie.

La musique est la chose la plus importante pour moi. Après Kian et ma famille, biensur! Quand l'une de mes amies est triste, je lui chante une chanson super joyeuse pour lui remonté le morale, et ça marche en plus! Je ne sais pas comment je ferais si la musique n'était pas là. Je pense que je ne serais pas aussi joyeuse et folle que ça. Vers le millieu de ma chanson, je vois Kian arrivé. Je lui sourit et continu de chanter. En même temps, je pense à ma famille. Elle me manque beaucoup Mais, heureusement que mon grand frère est là, sinon je pense que je ne survivrerais pas Enfin presque pas, sans Kian je pense que ça serais pire, vraiment pire! Je l'aime et je ne veu pas le perdre. Il est le seul, à par mon frère et mes parents, qui tien à moi. Après avoir fini ma chanson, je pose ma guitare sur l'herbe à côté de moi puis, je regarde Kian avec un grand sourire avants je se rapproché de lui et l'embrasse.

Salut, çava ?

En suite, je m'allonge sur l'herbe toujors en le regardant. Je ferme les yeux en pensen à toutes les choses qui me passe par la tête à se moment là.

Quand j'avais pensé que rien n'était plus merveilleux que Pandora avec sa guitare, je m'étais très largement fourvoyé. Tout était encore meilleur lorsqu'elle la posait dans l'herbe pour me sourire. C'était un de ces sourires qui font battre mon cœur plus fort, un de ces sourires qui me donnaient soudain l'impression que tout était parfait dans ce monde, un de ces sourires qui faisaient - si c'était possible - que je l'aimais encore plus qu'hier. Quand ses lèvres se posèrent sur les miennes avec douceur, j'eus la si douce impression que des ailes me poussaient dans le dos, les ailes d'un ange, mon ange. Oui, Pandora était mon ange. Finalement, je me rendit compte que j'avais arrêté de respirer tant je m'étais appliqué à l'admirer, une fois encore. Sa voix musicale s'éleva alors, à mes oreilles comme un chant d'oiseau :

<< Ça va ? >> me demanda-t-elle.

Que lui répondre ? Pourrais-je décrire toutes les émotions qui me traversaient à chaque fois que je croisais son regard si pétillant de joie de vivre ? Si j'étais la glace, elle était le feu. Et quand j'étais trop froid pour voir les petits bonheur de la vie de tous les jours, elle était toujours la pour me réchauffer le cœur et m'ouvrir au monde. Pas seulement mon ange, dans ce cas, mais aussi le bûcher au fond de mon être. La lumière pour éclairer mon chemin. J'étais si ému et si heureux rien qu'en entendant cette petite question de tous les jours, que j'en oubliais presque de répondre. Enfin, pour toute réponse, je lui rendait son baiser tendre et lui offrait l'un des plus beaux sourires dont j'étais capable. Un sourire comme elle les aimait, un sourire qui la faisait craquer, un sourire qui ne voulait rien dire de spécial, et qui pourtant en disait si long... Un simple sourire. Et trois petits mots.

<< Je t'aime. >> Murmurais-je.

Après avoir posé ma guitare dans l'herbe et embrassé Kian, je ne pouvais pas m'arrêtté de le regarde en souriant. Je souris presque avec tout le monde mais, encore plus avec Kian et mon grand frère, Stefan. En gros avec les personnes qui compte le plus pour moi. Depuis que je suis à Poudlard, je ne me suis jamais vraiment attaché à une personne. Sauf Kian, évidament! Quelques fois, en cour, au lieu d'écouté le prof je pense à lui et après bien sur, on me demende de répéter se qui vien d'être dit et, vue que je ne sais pas, j'ai une heure de colle. Mais, pas souvent. Je continue toujours de regardé Kian. Il me renda le baiser que j'ais déposé sur ses lèvres quelques minutes plutôt. Ensuite il me sourit. Son sourir me fais toujours craquer, même si il ne veu rien dire de spécial. Après, Kian me dit qu'il m'aime. Je souri et le regarde avant de lui répondre.

Moi aussi je t'aime.

Elle me dit qu'elle m'aime, elle est contre moi, que demander de plus. Je cherche dans son regard les pensées qui pourraient traverser son esprit, car je veux tout apprendre d'elle, tout savoir, tout partager de ses peines et de ses joies. Qui aurait jamais cru qu'une brute comme moi puisse trouver une muse telle que l'était Pandora, si belle et si douce, si forte et si calme à la fois ? Qui aurait songé que le monstre qui sommeillait en moi s'adoucirait au contact de ses lèvres magiques ? Crapaud dans l'âme, elle m'avait changé en prince charmant. La serrant dans mes bras, je songeais avec bonheur aux années que nous allions passer l'un à côté de l'autre. Un tout nouveau futur m'ouvrait ses portes. Mon destin sombre et humide comme les cages de la prison d'Azkaban ressemblait plus à cet instant à une prairie fleurie, avec une jolie maison en son centre, et le rire de quelques enfants jouant dans le jardin. Oui, Pandora m'aidait à imaginer que je n'étais pas forcement fait pour une vie de meurtres et de trahisons, que j'étais né avec un cœur pour aimer autant que pour haïr, et que s'il y avait des nuages, c'était pour rendre les apparitions du soleil encore plus éclatantes. Comme un grand roi aime chaque pierre, chaque fleur, chaque brin d'herbe de son royaume, j'aimais absolument tout de ma merveilleuse petite Dora, à chaque mèche de cheveux, à chaque parcelle de sa peau blanche-neige, à chaque sourire brillant de joie innocente. Je jetais un rapide regard à sa guitare, et me prenait d'une soudaine et irréfléchie envie de jouer à mon tour. Très peu de gens savaient que je faisais de la musique, mais je souhaitais plus que tout qu'elle sache que j'avais ce don en moi. J'attrapais alors sa guitare avec délicatesse, comme si c'était Pandora elle-même que je prenais entre mes bras. Prenant une grande inspirations, j'entamais une série d'accords un peu mélancoliques et fredonnais une vieille et jolie sérénade, dédiée à ma muse. ♥