Collé dans la forêt {Lycran}

Mais des fois on m'appelle Invité

/provisoirement posté ici en attendant une forêt interdite/

C’était une soirée agréable, le temps n’était ni trop chaud, ni trop froid. Le soleil était entrain de se coucher et teintait ciel de douce couleur jaune, rose et orange. Une soirée que j’aurais volontiers passer avec mes amis révolutionnaires plutôt qu’un écorché de Serdaigle, et deux autres Serpentard membres de ce mouvement… Enfin j’étais en partie fautive, si je mettais contrôler on ne ses serait pas battus et il n’y aurait pas eu cette stupide heure de colle. Je me tournais vers l’autre élève, Rusard nous accompagnais d’un pas claudiquant.

Ma mains était accrocher à ma baguette, en effet comme nous avions des tâches à accomplir dans la forêt interdite les professeurs avaient jugé idiot de nous priver d’instruments défensifs. De nouveau je jetais un regard au Serdaigle, il était différent de Daphné. D’ailleurs j’étais surprise qu’un membre d’une autre maison fasse partit des Écorchés. Enfin… avais-je vraiment mon mot à dire ? Moi, la Serpentarde révolutionnaire ?

« - Z’êtes arrivés. »

Je fronçais les sourcils et m’apprêtais à répondre que nous n’étions pas idiot, au dernier moment je réussis à me taire. Un homme massif sortit d’une cabane.

« - Qu’est-ce-que vous m’amenez Rusard ? »

Le concierge répondit de sa voix la plus désagréable.

« - De la mauvaise graine, ils sont chargés de chercher de vous accompagné pour votre patrouille dans la forêt. On verra si ils sont aussi téméraire en pleine nature que dans le château… »

Je lui jetais un regard noir. Hagrid se tourna vers nous.

« - Bon je prend les deux plus jeune avec moi. »

Aussitôt les deux autres Serpentard allèrent avec le demi-géant. L’une était comme moi en cinquième année, l’autre était un élève de troisième .

« - Vous deux vous allez ensemble. »

Je me trouvais donc avec le Serdaigle. Hagrid et mes ‘‘camarades’’ entrèrent dans la forêt, nous les suivîmes un moment jusqu’à ce que le chemin se sépare en deux. Pendant qu’ils partaient à droite nous prenions le chemin de gauche.

« - Lumos maxima. » je me tournais vers le Serdaigle. « Le mieux c’est qu’on ne s’éloigne pas trop. On pourrait aussi jeter un sortilège de Désillusion, mais en cinquième année on ne l’apprend pas. Enfin bon si tu as un moyen de nous rendre plus discret, ça pourrait éviter des ennuis. »

J’avais parler à voix basse car j’avais peur, j’étais terroriser à l’idée de ce qu’on pouvait rencontrer dans cette forêt, mais il était hors de question que je l’admette face à un Écorché !

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J'avais la rage.. A cause d'une sale révolutionnaire, je mettais pris une heure de colle. En plus c'était avec cet abruti d'Hagrid. Je me demandais pourquoi ce demi-géant travaillait encore à Poudlard.
On était séparés en 2 groupes. Et voilà que je me retrouvais avec cette Serpentarde révolutionnaire.. On aurait du échanger de maisons.

-Le mieux c’est qu’on ne s’éloigne pas trop. On pourrait aussi jeter un sortilège de Désillusion, mais en cinquième année on ne l’apprend pas. Enfin bon si tu as un moyen de nous rendre plus discret, ça pourrait éviter des ennuis.
-Ouais ouais c'est ça

Et voilà que maintenant elle se mettait à me donner des conseils.

Cette forêt n'était pas du tout rassurante.. On entendait des bruits à chaque pas.
On marchait sans bruit, et je me rendis compte que Lord Voldemort avait mis ses troupes ici avant le grand combat de Poudlard. Avec ce chef, jamais on ne pourrait perdre une bataille comme celle-ci. Tout le monde était plus préparé.

Quand je sortis de mes pensées, on avait déjà beaucoup avancé dans la forêt. Maintenant, les arbres ne laissaient passer aucune lumière.. On était juste éclairés par nos baguettes. Il y avait des ombres mystérieuses partout, les arbres étaient plus serrés entre eux et ils étaient plus grands. Ils avaient l'air vivant.
On ne s'était pas adressés la parole depuis le début de l'heure de colle. Je ne savais même pas son nom ni son prénom. Je ne la connaissais que par sa réputation.. Elle était à la fois serpentarde et révolutionnaire. Une équation vraiment bizarre.

-Au fait, je connais pas ton prénom.
-Normal, je te l'ai pas dis.

Super..

-Et tu peux me le dire ?
-Zora.

Je m'emmerdais ferme. Je ne savais pas quoi faire, j'avais pas de petits nouveaux à faire peur.. J'avais qu'une envie, rentrer à Poudlard.

-Et dis-moi Zora, ça te dirait pas de rentrer ?
-Toi t'as de l'humour..
-J'étais sérieux.
-Pour que j'ai une autre heure de colle avec toi ? Non merci.
-C'était juste une idée, mais je vois que c'est pas dans tes moyens.

On se fusilla du regard. On avait tous les deux les mains crispés sur nos baguettes, prêts à agir à tout moment. On eût la même idée, un duel dans la forêt interdite, avec personne pour intervenir. Ce serait rapide.

-Ce serait pas une bonne idée, vu que tu veux pas faire d'heures de colle avec moi. Ce serait con d'en faire une à moitié défigurée. Tu trouves pas ?
-Tu devrais vraiment te lancer dans une carrière d'humoriste toi..

Je souris à cette idée.

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L’heure de colle aurait put être agréable si le garçon ne sembla pas décider à discuter. Mais je dut admettre au bout d’un moment qu’il me faisait sourire. On continua à avancer, l’ambiance s’étant légèrement détendu. Je ne sais pourquoi une remarque me vint à l’esprit.

« - On se ressemble un peu tu sais. »

Devant son regard ahuri j’ eu un petit rire.

« - Je veux dire : un Serdaigle Ecorché, une Serpentarde Révolutionnaire… C’est pas comme si nos maison avaient eut le même alignement durant la guerre. »

Après tout j’avais entendu dire que quelque Serdaigle étaient rester lors de la Bataille de Poudlard pendant la seconde guerre, alors que tout les Serpentards étaient partit se cacher. Je regardais la forêt.

« - Quand je pense que Voldemort s’est tenu ici… » j’eu un frisson, c’est endroit me faisait réellement flippé, et si je n’avais pas craint une autre heure de colle je serais retourner aussitôt à Poudlard. Je sursautais, un bruit derrière nous. Je me retournais et lançais un Stupefix qui toucha une araignée géante. J’approchais avant de dire.

« - Une acromantula… C’est la première fois que j’en vois une. On ferait bien d’être prudent. »

Je dirigeais ma baguette vers les arbres, mon lumos maxima était redevenu un simple lumos de base, il éclaira suffisamment le nid (qui était à une centaine de mètre au dessus de nous) sans réveiller les créatures. Je dut me retenir de ne pas crier, tant ses créature m’inspirait de la terreur. Je sentais mes jambes trembler et il me fallut un grand effort de volonté pour ne pas me recroqueviller sur moi-même. Je détestais les araignées, enfin pas autant que les mille-pattes… mais quand même. Je me tournais vers le Serdaigle, je savais que mon visage devait refléter ma peur, et lui fit signe de faire demi-tour. A ma grande joie le stupefix n’avait pas réveiller les monstres (il faut dire que je m’étais entrainé à lancer ce sortilège silencieusement) et nous pûmes faire demi-tours le plus silencieusement possible. De retours au croisement je commençais à me dire que le garçon avait raison… Retourner à Poudlard aurait été plus prudent. Me disant que le silence entretenait l’angoisse je repris la parole.

« - Et toi ? Comment tu t’appelles ? »

Ma voix tremblait un peu, et je jetais de regard inquiet vers le chemin d'où nous venions.

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L'épisode de l'araignée nous avait bien fait flippé.
Tout était silencieux. On ne parlait pas. Ce silence faisait vraiment peur.
Et je remercia intérieurement Zora quand elle prit la parole

- Et toi ? Comment tu t'appelles ?
- Moi, c'est Lycran.

J'avais vraiment envie de me casser. C'était inimaginable mais j'avais réellement peur..
Je me rendis compte que je ne reconnaissais plus rien.

- T'es sure qu'on vient de par là ?
- Merde.. je crois qu'on s'est pommés.
- Je crois aussi. Faudrait qu'on essaye de rejoigne les autres.
- T'as raison, je vais envoyer des étincelles. Periculum !

Les étincelles montèrent au-dessus de nous, mais elles ne purent dépasser les arbres qui étaient gigantesques. Et elles s'effacèrent.

- Attends je vais essayer.

Je lança à mon tour le sort. Mais le même effet se produisit.. On était très mal.
Un bruit derrière nous, nous fit sursauter. On se retourna et nous vîmes plusieurs araignées géantes. Je chuchota :

- Je te propose de tester nos compétences à la course, qu'en dis-tu ?
- Oui acquiesia-t-elle.

Ce ce que nous fîmes, nous courrîmes comme des dérapés..
Nous les avions presque toutes semées. Il n'en restait plus que trois. Les plus grosses.

- Je crois que celles-ci se fatigueront moins vite que nous..
- Ouais, on se les fait ? demandai-je.

Elle me sourit en guise de réponse. On fit volte-face d'un même mouvement. Plusieurs sorts fusèrent. En quelques instants, les acromantulas furent à terre. C'était comme si on avait fait équipe toute notre vie.

- Bien joué !déclarai-je
- Ouais bravo !
- On devrait essayer de retrouver le chemin du retour..
- On va y arriver..

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J’étais essoufflée… Entre la course et notre petit combat contre les acromantulas … Disons que j’y réfléchirais à deux fois avant de me battre à nouveau avec un Ecorché. D’ailleurs je commençais à trouver celui-là sympathique… Un contre coup de la peur surement.

« - J’ai une idée pour retrouver notre chemin. »

Je posais ma baguette à plat sur la paume de main.

« - Pointe au nord ! »

Aussitôt cette dernière se mit à tourné, nous indiquant le nord.

« - Bon… Hagrid et les autres sont partit vers le nord de la forêt. A défaut de retrouver Poudlard essayons de tous nous rassembler. On pourra faire un compte rendu de ce que l’on a vu… Des araignées. »

Je passais en tête suivant les indications de ma baguette. Il me semblait apercevoir un peu de lumière en face de nous… Mais avec tout ce qui se promenaient dans la forêt je doutais que ce fut une bonne idée de s’élancer vers le premier point de lumière venu. Je fis donc signe à Lycran d’éteindre sa baguette et nous avançâmes dans le plus grand silence. Bientôt un crie déchira l’atmosphère, dans ma peur je m’accrochais à la première chose venu, à savoir le poignet du Serdaigle. Un second crie, plus de doute c’était la voix de Sarah Dorstom, la plus jeune des deux Serpentard. Ce crie eut pour effet de débloquer mes jambes, écorché ou pas, quelqu’un semblait en danger. J’avais resserrer ma poigne autours de la baguette et entrainé Lycran dans ma course, quoique bientôt c’est moi qui me trouvais trainée par le blond. Nous nous étions stopper tout d’un coup. Un étrange brouillard flottait devant nous, et une sensation glacé nous envahis. Un seul regard nous suffit pour savoir ce qu’il fallait faire et c’est d’une même voix que le sort fut lancer.

« - Spero Patronum ! »

Pendant que la lionne fonçait et nous ouvrait un chemin pour que nous puissions atteindre les trois autres je vis un immense aigle royal attaquer le premier des quatre détraqueurs. Hagrid était étendu inconscient au sol et les deux Serpentard semblaient paniquées.

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La lionne et l'aige s'occupait chacun d'un détraqueur. Les deux autres se dirigeaient dangereusement vers nous.. La lionne avait fini avec le sien et s'attaquait maintenant avec le troisième. Le dernier était proche de nous, trop proche de nous. Je me demandais à quoi pouvait jouer mon patronus, je l'aperçus en train de faire prendre la suite au détraqueur. Je lui cria :

- Viens vite ! Il y a encore un autre !

Il se dirigea vers celui-ci dès que mon ordre fut sorti de ma bouche. La lionne, elle, avait déjà fini avec le sien, elle aida le mien. Tandis que nos deux patronus, qui en passant étaient magnifiques, s'occupaient à poursuivre le dernier détraqueur; je couru vers Hagrid allongé à terre. Zora, elle se dirigea vers les deux serpentards pour les rassurer.
Hagrid, lui était étendu à terre.

- Tu crois qu'il a reçu le baiser de la mort ? demandai-je
- ..
- Hagrid ! Hagrid ! Répondez-moi ! Faites un mouvement !

Je m'efforçais de le secouer, malgré ma ..miniscule taille en comparaison de la sienne. Mes essais pour le reveiller faisaient encore plus fort. J'allais baisser les bras lorsque d'un coup il s'assit en balançant ses bras sur le côté. Etant à ses côtés je me reçus un de ses bras dans le ventre, ce qui m'envoya faire un vole-plané. J'atteris contre un arbre.

Hagrid se leva d'un coup. Il semblait se réveiller après un horrible cauchemar. Ce qui était très sûrement le cas. Il mit quelques secondes à réaliser ce qui se passait autour de lui. Et il demanda d'une voix rauque :

- Ils sont partis ?
- Oui souffla Zora.
- Tout le monde va bien ?
- Il n'y a aucun dégat.
- Bien, partons immédiatement.

Il se leva, prit son arbalette et se dirigea vers un sentier. Zora, elle, prit la main aux serpentards le plus jeune et le suivit. L'autre se précipita à sa suite. Je fermais donc la marche. Ma main était toujours crispé sur ma bague.
Le garçon devant moi sursautait à chaque instant. Ce qui ne m'aidait pas pour me calmer.

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C’était un drôle de retour à vrais dire. Hagrid était bien
pâle, mais au moins il semblait était sur pieds… Je tenais le plus jeune
Serpentard par la main, il semblait vraiment terrifié car chacun de ses pas se
trouvait accompagné d’un sursaut. Je passais dans ma tête tout les sorts
possible et imaginable que je connaissais, espérant en trouver un pour détendre
le garçon… Finalement je dus me rendre à l’évidence, la sorcellerie ne pourrait
pas calmer le garçon. Après avoir tenter plusieurs fois de le détendre je
décidais d’user d’une manière… un peu plus radicale.

« - Ecoutes, si tu ne te calmes pas MAINTENANT je jure
que je te jette un stupefix et qu’on te ramènera au château au moyen d’un
levicorpus. Compris ? »

Le garçon fit oui de la tête et notre petite marche repris
sans aucun sursaut, le garçon se contentait de lever vers moi un regard
craintif, pour seule réponse je haussais les épaules. J’étais une Serpentard
après tout, comme lui, et il savait que si il avait continué j’aurais mit ma
menace à exécution.

« - Tout vas bien derrière ? » demanda
Hagrid.

C’est vrais que le Serdaigle fermait la marche, je me
tournais donc vers lui. Quel dommage qu’il fut un écorché… Son patronus était
parfait, il devait surement être très doué en magie.

« - Hagrid, il serait peut être bien de prévenir la
directrice… Je veux dire la présence de Détraqueur près Poudlard c’est assez
inquiétant quand même… »

Hagrid acquiesça.

« - Oui, et il faudrait mieux éviter que les élèves
sortent le soir. Je pense qu’on devrais réunir tout les professeur. »

Ca me paraissait aussi une bonne idée… Entrainer les plus
jeune à lancer le patronus également. Il n’y aurait pas toujours des grands
pour les protéger. Au sortir de la forêt je me tournais vers Lycran.

« - T’as assuré dans la forêt. » je baissais d’un
ton. « Par contre je te demanderais de garder secrète l’apparence de mon
patronus… J’ai déjà assez d’ennuis avec les serpentard si ils apprennent ça… Je
sens que je vais avoir à faire à une crise sans précédent. Les deux autres n’ont
pas eut l’aire de remarquer. »

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On était enfin sortis de cette forêt. Je crois que je mettrai un bon bout de temps
avant d'y reposer les pieds.. volontairement du moins. Zora se tourna vers moi

- T’as assuré dans la forêt. Par contre je te demanderais de garder secrète l’apparence
de mon patronus… J’ai déjà assez d’ennuis avec les serpentard si ils apprennent ça…
Je sens que je vais avoir à faire à une crise sans précédent. Les deux autres n’ont pas
eut l’air de remarquer.
- Merci ! Toi aussi, t'as géré. Pour ton patronus, t'en fais pas, ça restera entre nous. Je
leur dirai pas.
- C'est quand même bizarre que des détraqueurs soient si près de l'école..
- C'est dangereux aussi.
- Ils auraient pu y passer tous les trois si on n'était pas arrivés à tant..
- Oui

Rien que d'y penser, j'eus des frissons dans le dos..

- C'est surtout ta lionne qui a fait tout le travail, mon aigle était d'une humeur feignarde..
- Ils ont quand même bossé ensemble.
- C'est vrai.

Je leva la tête, et vis que Hagrid et les deux autres étaient déjà bien avancés vers le chateau. Je proposa :

- On devrait y aller non ?
- Oui.

Un dernier regard vers la forêt, un dernier frisson, une dernière pensée, et je me retourna.
Cette heure de colle, sera dans mon esprit pendant longtemps.
On marchait côte à côte, silencieusement, pour arriver jusqu'au chateau.
Nous gravîmes les marches d'un même pas. Et nous arrivâmes dans le hall.

- Bonne nuit alors.
- Oui, toi aussi.

Ces deux phrases s'étaient dites en un souffle. On se quitta, je gravis les marches pour
aller dans ma mon aile. Tandis que Zora, elle descendit vers ses cachots..

(HS : On arrète là ?)

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/ok... désolée du temps de réponse, j'ai eu quelques imprévu cette semaine >

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