L'anarchie, le chaos, le désordre, l'Angleterre était en crise, chacun essayait de sauver sa peau avant celle des autres, aucune entraide et tels étaient les voeux du Seigneur Noir qui, confortablement assis dans le fond de son trône, appuyait sur le tatouage d'un mangemort enchaîné après le manche du trône. Abbadus avait eu la brillante idée, au cour de la journée, d'échafaudé un plan, un grand coup, sûrement le coup du siècle. Le mangemort enchaîné au manche se mourrait, il n'avait pas mangé depuis deux jours, et le sort que le mage lui avait lancé le tuait à petit feu. Le mangemort le suppliait de le laisser, il s'excusait, demandait pardon, mais Abbadus le regardait de ses yeux froids, il n'avait aucune envie de le relâcher. Il voyait en son disciple infidèle, la faiblesse, une faiblesse insuportable. Le Lord, attendait ses disciples qui ne tarderaient sûrement pas à arriver, ils avaient tous ressentis la douleur de leur tatouage, les premières silhouettes encapuchonnés commençaient à entrer dans la vaste salle du trône de la Crypte des Âmes.

Je me préparais à manger lorsqu'une brûlure se fit sentir dans mon avant bras.. celui du côté gauche celui où la marque de notre maîtres nous avaient été graver à jamais. Il nous appelais, il voulait qu'on le rejoignent. Avant de partir, il fallait que je me prépare, pas me faire beau non là ou j'allais mon apparence n'avais aucune importance car mon visage personne ne le verrais, pas même le seigneure.

Je me dirigeais alors vers ma garde robe pour y prendre ma longue cape de mangemort, puis j'installais sur mon si beau visage ce masque, le masque que le maître m'avait offert pour que personne dans l'assemblé des mangemort ne puisse savoir qui j'étais, pour rester le mangemort inconnue celui dont personne ne connaissait le nom. Il fallait que je me dépêche, il n'allait pas m'attendre longtemps, il commencerait même peut être sans moi.

Je transplanais alors et me rendit dans la crypte des âmes, là-bas, juste devant moi, se dressait le seigneur. Il regardait tout ses disciples le rejoindre suite à son appel. A ses pieds, attachés à son trône était placés un homme, je le reconnaissais s'était l'un des nôtres, je ne savais pas ce qu'il avait bien pu faire au maitre pour que celui-ci l'enchaîne mais j'en étais sur, il méritait son châtiment.

Un sourire nacquis sur mon visage, mais personne ne put l'apercevoir, au fur et à mesure qu'arrivait les disciples chacun enlevait leur masques, laissant apparaître leur visage. Un seul gardait son masque, s'était moi. Peut être les autres se demandait-il ce que j'avais, pourquoi je le gardais , certains pourrait même le prendre pour un manque de respect envers le maître. Mais seul eux deux savaient, le maître le savais que ce n'était en rien un manque de respect. Avant que sa ne commence, au cas ou je devrais prendre la parole je pris soins de modifier ma voix à l'aide de ma baguette pour que personne ne me reconnaisse. Ensuite je rangeais ma baguette dans ma poche arrière, et j'attendais que le seigneur prenne la parole..

HJ: Je vais poster tout de suite comme ça cela va être fait!

Abbadus regardait ses fidèles apparaître un par un, son frère était absent pour le moment, mais il ne devrait pas tarder à arriver. Abbadus voyait en ses fidèles des âmes effrayés à l'idée de le décevoir, il voyait en eux une peur qui le mettait dans une fureur extrême, mais qui le rendait fier de ce qu'il était devenue, la peur. Voilà ce qu'il était devenu, la peur, la mort, celui qui décidait de qui vivait et qui mourrait. Du bout de sa baguette, il contrôlait le monde, une simple formule et même les plus puissants mages noirs s'écrasaient. Son orgueil était sûrement devenu son pire défaut, ce qui le poussera sûrement à la mort, mais dans sa tête, à travers toutes ses voix, il se pensait plus puissant encore que le premier Seigneur des Ténèbres, peut-être était-ce vrai, ou pas, mais cela n'étant pas important, il sortit de ses pensés pour s'adresser à ces serviteurs qui attendaient depuis plusieurs minutes en silence, soit trop apeurés pour bouger ou soit qu'ils étaient habitués à rester en rang pendant que le Seigneur réfléchissait. Il prit enfin la parole:
- Mes chers amis et amies, aujourd'hui, pendant que je réfléchissait, j'eu une illumination. Je ne pouvais décerner d'où elle provenait, mais tout de même j'ai su ce qu'elle voulait de moi. Il est temps, pour vous et moi, mes frères, de se dévoilés au monde et de préparer un grand coup, le coup du siècle. Nous sommes en effectifs assez nombreux maintenant pour tenter une attaque, j'ai une idée sur ce que nous pourrions faire. Mais d'abord j'aimerais entendre vos propositions, peut-être seront-elles meilleures que la mienne.