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Wendy Lilie Mason • Age et Date de Naissance : 15 ans, née un 28 Novembre. • Année : Cinquième année • Surnom(s):Didi, Lilie-pucienne. • Maison ou ancienne maison: Poufsouffle • Nationalité :Anglaise. • Lieu de résidence : Un appartement en centre ville de Londres. • Position face au conflit : Neutre. Pour l'instant.
Chapitre II .
— T'es qui toi ?
.
• Physique:
" Elle est pas jolie ; elle est pas moche non plus "
Me décrire ? Je ne sais pas. Je n’ai jamais passé trois heures devant un miroir. Ces blondes décolorées aux lèvres pulpeuses qui jettent des regards langoureux à leur reflet dans la vitre m’exaspèrent. Je les trouve laides, vulgaires, fades. C’est dur d’avoir un regard objectif sur soi-même et je crois que malgré toute la meilleure volonté du monde, je n’y arriverai pas, pas complètement. Je ne jouerai pas les fausses modestes. La modestie m’horripile autant que l’auto-satisfaction. Je suis jolie. Pas cette beauté blonde et fatale de ces serpentardes à grosse poitrine, non. Disons plutôt mignonne. Pas désagréable à regarder. Mais par où commencer pour dégager cette impression ?
J’ai la peau claire, une peau de blonde, ou de rouquine, qui possède ses imperfections. Des taches de rousseur très légères, plus brunes que rousses, parcourent ainsi par endroit ma chair, en restant discrètes. Je suis de corpulence extrêmement menue, et le fait que je sois chétive est d’autant plus mis en valeur que je suis de petite taille. Plusieurs de mes camarades me dépasseraient sans mal d’une bonne tête et les septièmes années me dominent totalement, géants boutonneux qui pour la plupart ne m’inspirent aucune sympathie. Mes hanches sont étroites et j’envie parfois la poitrine imposante de certaines filles de mon dortoir. La mienne, sans être entièrement plate, demande encore à se développer. J’ai eu ma puberté très tard, et avec mes mains et mes chevilles très fines, mon ventre plat pour ne pas dire maigre, on pourrait de dos me confondre avec une quatrième année. Il parait que j’ai un joli dos, avec une colonne vertébrale bien dessinée et une courbure agréable. Pour ma part je n’en sais rien, je ne me suis jamais regardée de dos.
Mon visage est ovale. Mon menton, petit et rentré en une moue butée, mes pommettes saillantes et mon nez retroussé lui confèrent un air mutin. Mes lèvres sont pleines, charnues. Le plus étonnant je crois dans ce visage fermé et non sans arrogance, ce sont mes yeux. Pas leur couleur, d’un noisette vif plutôt habituelle, mais l’expression qu’ils dégagent. Des yeux curieux, immenses, qui dévorent ce visage plein d’intransigeance. Mes cils sont très longs et rendent ce regard encore plus lourd, encore plus insistant. Autre détail à noter sur ce visage ? Des dents du bonheur. Vous savez, mes deux dents de devant sont très légèrement écartées. Certains se font opérer pour ça. Il parait que ça me donne du charme. Un charme de petite fille. Et je n’aime pas les dentistes. Mes cheveux sont coupés mi-long, en vrac. Des mèches partent dans tous les sens et ils sont constamment ébouriffés. Raides mais pas secs, ils encadrent bien mon visage. Je suis revenue à ma couleur naturelle pendant l’été dernier : un châtain clair cuivré. Mais je suis passé par de nombreuses teintures, le blond, le noir même avant de revenir à cette teinte de brun. J’ai changé régulièrement depuis mes douze ans. Ils sont généralement lâchés, mais il m’est arrivé de les nouer en queue de cheval, ou même de les agrémenter d’une natte ou de perles en bois.
Mon style vestimentaire, à présent. Certains pensent que les vêtements sont le reflet de notre personnalité. Personnellement, je n’y crois pas. La plupart du temps, je porte des pulls en laine ternes à larges mailles à capuche, de grosses écharpes mal tricotés aux couleurs vives, des pantalons légèrement bouffant par-dessus lesquelles je glisse des tuniques, ou encore des jeans. Ma façon de m’habiller me rend plus fluide que je ne le suis déjà, je le sais déjà. Mais j’aime être à l’aise. J’aime les sweets informes et les gilets en laine trois fois trop grands pour moi. Je ne suis pas une grande adepte des bijoux. Je me contente de boucles d’oreilles en métal ou en bois, sans plus. Idem pour le vernis, j’ai cette chose en horreur. Je me maquille un peu, en revanche. Pas à la truelle, bien sûr. Un peu de mascara, de fard, seulement. Je sais me mettre en valeur sans tomber dans l’excès, et je met un point d’honneur à ne pas tomber dans le ridicule, le surplus.
• Caractère:
" Tu m'as dis qu'la vie valait l'coup alors, j'y crois maintenant "
A quoi vous attendiez vous ? A la fille loyale et gentille, attentionnée avec tout le monde, souriante et calme ? Non. Ce cliché de la jaune et noire m’agace comme tant d’autres choses. J’aimerai balayer ces stéréotypes. Je suis une grande gueule. Pas la grande gueule qui l’ouvre pour un rien, et le plus fort possible, non. Je suis plutot de la catégorie de celles qui la ramène avec une pique juste, courte, froide. Pas ces longs discours. Les longs discours ont toujours moins d’effet, et personnellement, quand un vert et argent ouvre la bouche plus de deux minutes pour paraître acerbe, je m’endors. Ce n’est pas de la méchanceté de ma part pourtant. Ces réflexions qu’il m’arrive de lancer, parfois un peu gratuitement, ne sont pas celles d’une teigne qui cherche juste à faire son intéressante. J’ai juste une conviction inébranlable en ce que je crois. Je ne sais pas si c’est une qualité. Mes idées sont souvent arrêtées, et je ne prends pas toujours la peine de me laisser convaincre. Je reste ferme, campée sur mes positions et pour certains, mon attitude relève carrément de l’arrogance. Mais n’allez pas tout de suite vous forgez de moi une image de piètre emmerdeuse qui met le nez là où elle ne devrait pas. De toute façon, les potins, le commérage, ça ne m’a jamais passionné.
Je juge les gens très vite, trop vite. Je les catégorise rapidement au bout d’une conversation pour les ranger dans une des ces deux catégories : copain ou pas copain. Deux minutes seulement de discussion me suffisent amplement. Après ça, je change rarement ma position. Vous l’aurez compris, je ne suis pas quelqu’un de versatile. Même si je mords facilement, je pense être quelqu’un qui profite vraiment de la vie. Carpe Diem, cueilles le jour. J’ai remarqué que certaines personnes étaient mues d’une incapacité déconcertante à être heureuses : elles passent leur temps à s’apitoyer sur leur propre sort, à pleurer pour des bêtises. Je pleure rarement. Et il y a tout un tas de petites choses dont je profite vraiment et qui suffisent à me mettre de bonne humeur : passer la main dans un sac de lentille par exemple. Ces petits riens dérisoires peuvent vous faire rire. Et alors.. Je fais partie des je-m’en-foutiste. L’avis des autres peut me blesser bien sûr, ça serait prétentieux de dire le contraire, mais je pense qu’il m’importe moi que les nanas toujours en quête de popularité.
J’ai un faible pour les vices. J’ai commencé à fumer comme la dernière conne moldue, pas à cause de l’effet groupe, non, par envie de tester, de curiosité. Une curiosité proprement individuelle. Oui, je suis au fond quelqu’un d’assez individualiste. Bizarrement, ce dédain à fait que j’ai souvent été appréciée dans les grandes communautés, les grandes bandes d’amis. Parce que j’étais capable de m’imposer en restant assez en retrait pour ne pas menacer les têtes de groupe. Je n’ai rien d’une meneuse, c’est évident. Alors je préfère laisser les rennes à quelqu’un d’autre en restant dans mon coin. Mais revenons au vice. La cigarette, l’alcool, des premières expériences où j’ai plongé le nez en avant. Même si ça n’était jamais bien méchant, cette attirance pour la connerie s’est étendue jusqu’à mes quelques relations amoureuses. Le très classique faible féminin pour l’excentricité. J’ai eu une affiliation particulière pour les relations amoureuses tordues, impossibles, avec les personnages les plus hauts en couleur et les plus extravagants que je pouvais trouver à Poudlard. Un faible pour l’originalité plutôt, en y réfléchissant bien. Je suis souvent dans cette relation de tests, de limites, dans mes relations avec les gens en général.
Si j’ai été envoyé dans la maison des jaunes et noirs, je crois que c’est pour ma loyauté, non pas envers les personnes mais envers mes quelques convictions, fondations solides et inébranlables. J’ai eu peu de vrais amis. Je préférais me noyer dans les grands groupes précisément parce que, dans les « bandes », on parle rarement de choses importantes, compromettantes, de secrets, de « j’le dirai à personne » et que ça m’arrangeait, justement, ces relations où, au fond, on se fout bien de l’autre.
Chapitre III .
— Pére Castor, raconte moi une histoire
.
Je n’ai pas eu une enfance difficile, avec des morts cachés dans les placards, des histoires de famille tumultueuses remplies d’adultères, de tromperies sanglantes. Je suis née dans un petit appartement exigu en plein cœur du centre ville de Londres. Mes parents s’étaient rencontrés quatre ans plus tôt, et s’étaient mariés très vite. Mère moldue, père sorcier. Ma mère a toujours eu du mal à accepter ce monde, notre monde. Celui où les dragons ne sortaient plus du mythe et où la sorcellerie n’était plus un conte qu’on raconte aux gosses pour leur faire peur. Elle avait pris sur elle, et je crois qu’inévitablement, cette rancœur qu’elle avait remuée pendant toutes ces années ne pouvait conduire qu’à un divorce. J’avais trois ans quand elle nous a quitté. Mon père fondait beaucoup d’espoir sur ma future intégration à Poudlard et c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, j’imagine. Elle est repartie chez sa mère et nous a laissé. Je ne lui en voulais pas. J’ai essayé d’imaginer le choc qu’elle avait du traverser quand elle avait appris les pouvoirs de mon père. Sa vie à elle avait toujours été on ne peut plus normale : infirmière, scolarité sans vagues, amis respectables, ce bouleversement radical dans sa vie, je ne sais pas si moi je l’aurai supporté. Elle revenait de temps en temps bien sûr, pour me voir. J’allais et je vais toujours passer quelques jours chez elle, pendant les vacances. J’évite de parler de ce qui a trait à la magie. Ca permet d’éviter la confrontation, et les mauvais souvenirs. Après mon père, elle a rencontré quelqu’un. Un homme fade, normal lui aussi, totalement normal. Il travaille dans le monde de la bourse, je crois. Il ne m’aime pas beaucoup, mais développe des trésors de complaisance et d’amabilités pour masquer sa gêne lorsque je viens chez eux. Avec mon père, ma relation a été très différente. Lui est aide soignant pour loup-garou, un poste permanent à Sainte Mangouste. Il a toujours fondé beaucoup d’espoirs sur moi. Quand j’avais sept ans, il me montrait des tours, me parlait avec enthousiasme de tout ce que je saurai faire une fois à Poudlard. Je ne comprenais pas bien encore ce fossé qui les avait éloignés, lui et maman. Je ne cherchai pas vraiment à le comprendre. Après elle, il ne s’est pas remarié. Il a ramené des copines, de temps en temps, à la maison. Il me disait « tiens Didie, c’est Mary, une collègue de travail. On va dans la chambre, travailler un peu ». Je savais que ce qu’ils faisaient dépassait le cadre bureaucratique mais le lendemain, il était de bonne humeur et riait, alors je ne disais rien. Ca ne me dérangeait pas, dans le fond.
Cette situation monoparentale à une influence directe sur mon évolution pendant l’adolescence. A l’école primaire, j’étais une enfant plutôt discrète. J’avais des notes correctes, et mon père voyait à la rabaisse, de toute manière, le monde de l’école moldue. Je crois qu’il voyait ça comme un institut sommaire qui devait juste me faire patienter jusqu’à mes dix ans. Ma mère prenait mes résultats plus à cœur. Seulement, elle n’était pas là. J’ignore si c’était une preuve de laxisme de mon père, la liberté que j’ai eu à cet âge là. Il y avait des couvres feu à respecter bien sûr, mais dans l’ensemble, mon père aussi papa poule qu’il pouvait l’être parfois, me laissait la clé autour du cou. A huit ans, ma première manifestation magique resserra nettement nos liens. J’étais très énervée ce jour là. Mon père avait ramené une de ses conquêtes le soir de mon anniversaire et je lui en avais terriblement voulu. Les vitres de la maison avaient volé en éclats et les lampes s’étaient brisées, éclatées en morceaux disparates sur le sol de la cuisine. Il ne s’était pas énervé, pourtant, au contraire, devant les dégâts. Il était heureux. Quand j’atteignis mes onze ans enfin, je reçus la lettre, la liste de fournitures pour l’école de magie. Alors que les autres enfants trépignaient d’excitation, je tremblais d’angoisse. Papa m’avait expliqué qu’il avait été envoyé à Gryffondor, le jour de la répartition. Je savais que j’aurai définitivement gagné son admiration en étant envoyée là-bas. Le choixpeau en décidait autrement, et je gonflais le rang des jaunes et noirs. Mon père n’en fut pas chagriné et je mourrais d’ennuie sous les centaines d’anecdotes poudlardienne qu’il me racontait lorsque je revenais à la maison. Cette première année se passa sans accroches : j’écoutais en cours, je travaillais ce qu’il fallait, j’avais rejoins une bande de jaunes et noirs qui vadrouillaient gentiment dans les couloirs. La magie me fascinait. Si j’avais gagné l’estime de mon père, le coup fut rude pour ma mère. Elle espérait sûrement que j’avais échappé à ce qui, pour elle, était une malédiction.
Je rentrais pendant les grandes vacances. Ma deuxième année se passa également sans anicroches. Je me découvris un véritable engouement pour la métamorphose, et une haine sans précédent pour la botanique. Ramasser des champignons, c’était décidemment pas mon truc. Pendant deux ans de ma scolarité, je fus épargnée par les évènements qui se profilaient dangereusement dans le monde des sorciers. Je n’étais pas une née moldue, mais de sangs mêlés, et je me contentais de dire que j’habitais avec mon père, sorcier. J’évitais donc les ennuis lorsque les groupes commencèrent à se former de façon de plus en plus forte. Je n’avais pas l’ambition de soulever des montagnes, et intégrer un de ces pseudos partis, que ce soit pour jouer au méchant ou à l’héroïne, ne m’intéressait pas. Les groupes devenaient pourtant de plus en plus pressants, insistant auprès des neutres. Je préférais faire partie du « corps mou » que de celui des faux idéalisateurs. Des premières années rejoignaient même les écorchés, maintenant, ça rimait à quoi ?
Chapitre IV .
— derrière l'écran
.
• Prénom ou Pseudo : • Age : 17 ans. • Présence sur le forum : Alors là, ça dépend vraiment des semaines (si mon prof de philo se casse une jambe, àa serait 7/7 • Ou avez vous connu le forum? : Google. • Comment le trouvez vous? : Chouette • Avatar : Pour l'instant, il est temporaire, je dirai quand j'aurai le définitif • Code du forum : [CODE BON]
Dernière édition par Wendy Mason le Sam 4 Déc - 22:19, édité 2 fois
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 21:03
Bienvenue !! De ma part de celle d'Aurore, la Mangemort.
Amuse toi bien parmi nous
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 21:04
Bienvenue (de la part de tous mes DC aussi x] )
Hey, moi c'est Lorcan Scamander !
Mais des fois on m'appelle
Hug' : Rêveur Déluré
√ Mes messages : 6784
Qui es-tu ? Sang: Sang Mêlé Patronus: Loup Blanc What\'s in your pocket ?:
Posté le Sam 4 Déc - 21:13
Whow, sincèrement, ce début de présentation est TRES impressionnant ! Je buvais littéralement tes mots, tes phrases, tu m'as l'air très douée en écriture
Je te souhaite donc la bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche ( que j'ai très hate de lire ! )
Hey, moi c'est Nouille !
Mais des fois on m'appelle
√ Mes messages : 1134
Qui es-tu ? Sang: Mélé Patronus: Imposant Renard Roux. What\'s in your pocket ?:
Posté le Sam 4 Déc - 21:27
wow,j'suis impressionée,tu écris vraiment trés,trés bien et j'attend l'histoire avec impatience,vraiment ! Sinan Welcome sur EH ;D
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 22:01
Merci à tous pour vos gentils messages de bienvenu. Et pour ces compliments. Je suis désolée, l'histoire reste un peu bâclée mais je préfère développer en rp, plutot que tout dans une fiche .__. Rose, je suis fan de ton vava **
Hey, moi c'est Lorcan Scamander !
Mais des fois on m'appelle
Hug' : Rêveur Déluré
√ Mes messages : 6784
Qui es-tu ? Sang: Sang Mêlé Patronus: Loup Blanc What\'s in your pocket ?:
Posté le Sam 4 Déc - 22:14
Whoa, effectivement, j'adore aussi l'histoire !
Cependant, il manque la moitié du code, on te valide dès que tu as trouver l'autre morceaux
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 22:19
C'est fait ;D !
Hey, moi c'est Lorcan Scamander !
Mais des fois on m'appelle
Hug' : Rêveur Déluré
√ Mes messages : 6784
Qui es-tu ? Sang: Sang Mêlé Patronus: Loup Blanc What\'s in your pocket ?:
Posté le Sam 4 Déc - 22:22
Eh bien c'est parfait ! Je te valide et bienvenu à Poufsouffle !
Tu pourra maintenant : - Faire des RPs - Voter sur les TopSites parce qu'on en a grand besoin >.< - Participer aux différents jeux, simplement pour le fun ou pour gagner des gallions - Faire tes demandes de liens avec les autres personnages - Faire tes demandes de RPs pour bien commencer - Et faire une demande de rang si tu en veux un. Il se placera juste sous ton nom Pour ça, demande moi (a)
J'espère que tu vas bien t'amuser !! =D
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 23:08
Bienvenue parmi nous ! Une pouffy
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Sam 4 Déc - 23:32
Bienvenue à toi ! Impressionant !
Hey, moi c'est Scorpius D. Malfoy !
Mais des fois on m'appelle
Prince des Serpentard
√ Mes messages : 5224
Qui es-tu ? Sang: Pur Patronus: Fouine argentée What\'s in your pocket ?:
Posté le Dim 5 Déc - 12:36
WELCOME !
Hey, moi c'est James S. Potter !
Mais des fois on m'appelle
Δ Leader des Révolutionnaires Δ
√ Mes messages : 185
Qui es-tu ? Sang: Pur Patronus: Phoenix What\'s in your pocket ?:
Posté le Dim 5 Déc - 14:15
Bienvenue !
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Dim 5 Déc - 14:44
Bienvenue ! A en juger ta réflexion sur ton prof de philo, j'en déduis que tu es en L, pas vrai ? En tout cas, tu écris vraiment bien.
Hey, moi c'est Invité !
Mais des fois on m'appelle Invité
Posté le Dim 5 Déc - 15:28
Merci, merci Julian : merci et exact, je suis bien en L, avec son nombre incalculable d'heures de philo par semaine
Hey, moi c'est Lorcan Scamander !
Mais des fois on m'appelle
Hug' : Rêveur Déluré
√ Mes messages : 6784
Qui es-tu ? Sang: Sang Mêlé Patronus: Loup Blanc What\'s in your pocket ?:
Posté le Dim 5 Déc - 18:27
Préviens moi lorsque tu aura le nom définitif de ton avatar